Frankenstein Sister

5 février 2011

Soyez tous remerciés, lecteurs et lecteuses assidus ou nouveaux venus, pour vos petits messages de soutien (gorge) après ma séance de haute couture exécutée par un type qui n'avait pas enlevé ses moufles.

Me voilà prête pour Mardi Gras : encore une fois dans la peau de la soeur de Frankenstein, toute couturée du nichon apocryphe et néanmoins réconfortée par sa seule présence.

Dommage que je ne puisse l'exhiber sur les plages populacières de nos étés encombrés de chairs à griller ! La vision de la mienne, martyrisée et encore saignante, m'eut laissée sans doute plus de m2 qu'il n'est permis d'en espérer à l'heure de la grande cuisson estivale.

Imagine-toi, lectrice horrifiée, 2 belles balafres cousues au barbelé. C'est rien, ça va passer. Il convient de mesurer tous tes gestes car tu peux tout faire péter en croyant pouvoir t'appuyer sur le bras opposé. Or, le docteur fou t'avait autrefois découpé un bon steack dans le dos pour le passer devant. Si bien que ton faux nichon est recouvert d'un muscle dorsal qui ne demande qu'à se contracter de façon inopinée, et faire sauter les coutures à tout moment.

Je te laisse, lecteur gourmet, j'ai une paupiette à ficeler.

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